[NO-FAKE]_Ma_relation_avec_un_dindon
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 8
Publié le 19/08/13 à 01:11:55 par Pseudo supprimé
Coincé… Nom de dieu… Coincé… J’avais beau tiré de toutes mes forces pour faire en sorte que mon pénis se décoince de l’anus de l’oiseau, rien à faire. Autant vous dire que j’étais complètement paniqué, et pris au piège d’une certaine manière : je ne pouvais strictement rien faire, à part attendre que mon érection se calme. Mais c’était impossible, car je n’étais pas le seul à être paniqué : Shauni se débattait lui aussi, au bout de mon pénis.
Il gesticulait dans tous les sens, en émettant un bruit d’une violence inouï, une sorte de «GLOUGLOUGLOUGLOUGLGLGLGOGUUUUUUU » sauvage et intense à la fois, qui me procurait un grand plaisir.
« -Shauni… arrête de gesticuler… Je vais… Je vais… »
Mais un bruit étrange provenant de la porte arrière me coupa. Quelqu’un était en train d’essayer de rentrer à l’intérieur de l’usine ! En une fraction de seconde, j’eu le réflexe de me cacher sur le côté. La porte s’ouvrit, et je pu reconnaître clairement la personne qui rentrait à l’intérieur.
Des cheveux bruns, aussi crasseux que de la merde de cheval en compote, des yeux globuleux surplombés par des lunettes rondes et énormes, un sourire mielleux qui cachait une haleine de phoque, le tout supporté par un corps –non, un énorme tas de graisse. Oui, c’était bien lui. Jean-Luc était un garçon qui vivait dans le même village que moi. Le neveu de Dédé, entre autre. Mais que diable foutait-il dans un endroit pareil ?
« -Allez, entre, Alphonse… Dépêche-toi, ton petit cul m’excite ! » dit-il…
…Et un énorme mouton le suivit.
Il gesticulait dans tous les sens, en émettant un bruit d’une violence inouï, une sorte de «GLOUGLOUGLOUGLOUGLGLGLGOGUUUUUUU » sauvage et intense à la fois, qui me procurait un grand plaisir.
« -Shauni… arrête de gesticuler… Je vais… Je vais… »
Mais un bruit étrange provenant de la porte arrière me coupa. Quelqu’un était en train d’essayer de rentrer à l’intérieur de l’usine ! En une fraction de seconde, j’eu le réflexe de me cacher sur le côté. La porte s’ouvrit, et je pu reconnaître clairement la personne qui rentrait à l’intérieur.
Des cheveux bruns, aussi crasseux que de la merde de cheval en compote, des yeux globuleux surplombés par des lunettes rondes et énormes, un sourire mielleux qui cachait une haleine de phoque, le tout supporté par un corps –non, un énorme tas de graisse. Oui, c’était bien lui. Jean-Luc était un garçon qui vivait dans le même village que moi. Le neveu de Dédé, entre autre. Mais que diable foutait-il dans un endroit pareil ?
« -Allez, entre, Alphonse… Dépêche-toi, ton petit cul m’excite ! » dit-il…
…Et un énorme mouton le suivit.
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